Voici un aperçu de mes arrivées de ces 2 dernières semaines avec beaucoup d'indé :
Je me suis enfin mis à Shovel Knight ! J'avance à coup de petites sessions histoire de faire durer le plaisir.
Pour Cuphead, heureusement que cette version boite est au même prix que le jeu lui-même : on a droit à un steelbook sans CD, 4 stickers qui rentrent mal dans le dit steelbook et un papier qui signale qu'il faut demander le code de téléchargement en caisse (une fois la boite ouverte donc). 'fin bon, je testerai le jeu plus tard, faute de PC sous windows 10.... (bon, je vais m'acheter cet été un portable, donc je garde quand même...).
Le reste est certainement moins connu, on va passer ça en revue :
-Beat Cop : c'est un jeu finalement très proche d'un Paper, please. Ici, on incarne un inspecteur de police qui, après une intervention pour un cambriolage chez un sénateur, se retrouve accuser de vol (d diamants, mais pas que). Notre inspecteur est alors limogé et passe au rang de simple agent de police qui sera, pendant 3 semaines (le temps d'une partie), affecté à un quartier de Brooklyn. Chaque journée sera divisée en deux phases, une première, au commissariat où l'on reçoit nos ordres d'un chef plutôt remonté. Les missions du jour seront souvent à base de quota de PV à mettre... On pourra, lors de cette phase obtenir des infos de la part de nos collègues. Après, on arrive sur notre lieu de travail, une rue de Brooklyn où se joignent à la population une famille mafieuse italienne et un gang de noirs. Il faudra donc faire régner l'ordre là-dedans, mais surtout survivre. Entre les PV à mettre, les voleurs à arrêter, les braquages à empêcher, les commerçants à contenter, son estomac à remplir et tout un tas de problèmes à régler, il y a de quoi faire. Il faudra veiller à ne pas se mettre de faction (mafia, gang mais aussi police) à dos. Tout cela se présente sous la forme d'un point'n click en 2d low-res. L'ambiance typé film policier des années 80s est complètement assumé et l'occasion de quelques clin d’œils. Comme dans Paper, please, on a de plus en plus de choses à gérer chaque jour, avec pas mal de diversité dans les événements proposés. J'ai beaucoup apprécié l'ambiance et certaines parties du script étaient clairement inattendues. Par contre, je trouve que le jeu n'est pas assez punitif, on arrive facilement à ne se mettre personne à dos et certaines action pourraient avoir plus d'impact, d'autant que cela nuit à la re-jouabilité : on peut revenir sur certains jour lors desquels on aurait raté un événement particulier mais je me vois mal recommencer une partie pour finir, par exemple, au sein, de la mafia (il y a pas mal de fins alternatives).
-Dead Synchronicity : un point'n click dystopique, bien noir, pas encore testé.
-A Rose in the Twilight : pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un Puzzle-platformer 2D dans lequel on contrôle 2 personnage : Rose, qui peut "donner vie" à des objets en les imprégnant de sang mais aussi rendre des objets animé inerte en leur retirant le sang. L'autre personnage est un géant de pierre, protecteur, qui pourra se saisir des objets animés (rouges). Le titre vaut beaucoup pour son ambiance, non pas que les puzzles soient sans intérêt, mais la lenteur des personnages et les graphismes, sorte d'aquarelles grises (teintées de rouge), poussent à la contemplation (a moins que ce ne fut mon état lorsque j'y ai joué, malade, un peu groggy, qui m'a donné cette impression).
-Serial Cleaner : découvert en même temps que Beat Cop et The Flame in Flood en regardant ce que proposait un vendeur polonais (chez qui j'ai pris Dead Synchronicity), j'ai rapidement voulu le tester (comme Beat Cop en fait...).
Voilà le plot : vous incarnez un nettoyeur, le genre que l'on appelle pour se débarrasser d'un macabé et pour faire le ménage sur une scène de crime un peu trop chargée en pièce à conviction en devenir. L'action se passe dans les années 70 autour d'une intrigue proche de celle du tueur du zodiaque... Le gameplay est simple, on a droit à un jeu d'infiltration 2D finalement assez classique. Dans chaque niveaux seront présents des policiers dont le champ de vision sera représenté. Il faudra évacuer les corps et récupérer les pièces à conviction sans se faire prendre et même faire un peu de ménage en aspirant une partie du sang présent sur place. Détail important, quand on marche sur le sang, ça glisse (idem quand on l'aspire). Bon, au début j'ai eu un peu peur de l’apparente simplicité du jeu mais les mécaniques et surtout la difficulté arrive petit à petit. Par exemple, le bruit que l'on fait n'est pas pris en compte dès les premiers niveaux. Autre point, quand on se fait repérer, il suffit d'entrer dans une des caches présente sur le niveau, et même si le policier qui nous pourchassait nous voit entrer dedans, il nous laissera tranquille... Heureusement, la difficulté augmente suffisamment (avec, par exemple, l'ajout de policiers qui tireront à vue, d'autre qui resteront en alerte s'ils vous voient une fois...). Entre chaque mission, à la manière d'un Hotline Miami, on rentre chez nous, retrouver notre mère (si si) avant le prochain coup de téléphone... Dans ces phases, l'ambiance est posée via un aperçu du programme TV / radio ou de la une du journal. La comparaison avec Hotline Miami s'arrête là et hormis la vue de dessus, les 2 jeux n'ont que peu de points en commun (je précise ayant vu certaines critiques se basant sur cette comparaison). En plus d'un mode histoire, on a droit à des contrats bonus, sur le thème d'un film ~de l'époque (Orange mécanique, Alien, Star Wars...) que l'on débloque en trouvant des bobines dans le mode histoire. Au passage, notre nettoyeur ne manquera pas de faire des commentaires sur les indices ramassés et les corps récupérés (quelques critiques sur les films s'y cachent pour les contrats bonus). Enfin, tous les niveaux du mode histoire ont droit à une tripotée de mode time attack qui aurait pu se réduire à quelques options (type présence du cône de vision, possibilité de se cacher en étant dans le cône de vision d'un policier, un mode où à chaque cadavre déposé, un nouveau apparaît). Il y'a donc pas mal de re-jouabilité, même si seul le time attack classique a un réel intérêt.
-UNepic : un metroidvania dans lequel un rôliste débutant se retrouve dans un donjon alors qu'il partait pisser en pleine partie de JDR. Pas encore testé.
Je me suis enfin mis à Shovel Knight ! J'avance à coup de petites sessions histoire de faire durer le plaisir.
Pour Cuphead, heureusement que cette version boite est au même prix que le jeu lui-même : on a droit à un steelbook sans CD, 4 stickers qui rentrent mal dans le dit steelbook et un papier qui signale qu'il faut demander le code de téléchargement en caisse (une fois la boite ouverte donc). 'fin bon, je testerai le jeu plus tard, faute de PC sous windows 10.... (bon, je vais m'acheter cet été un portable, donc je garde quand même...).
Le reste est certainement moins connu, on va passer ça en revue :
-Beat Cop : c'est un jeu finalement très proche d'un Paper, please. Ici, on incarne un inspecteur de police qui, après une intervention pour un cambriolage chez un sénateur, se retrouve accuser de vol (d diamants, mais pas que). Notre inspecteur est alors limogé et passe au rang de simple agent de police qui sera, pendant 3 semaines (le temps d'une partie), affecté à un quartier de Brooklyn. Chaque journée sera divisée en deux phases, une première, au commissariat où l'on reçoit nos ordres d'un chef plutôt remonté. Les missions du jour seront souvent à base de quota de PV à mettre... On pourra, lors de cette phase obtenir des infos de la part de nos collègues. Après, on arrive sur notre lieu de travail, une rue de Brooklyn où se joignent à la population une famille mafieuse italienne et un gang de noirs. Il faudra donc faire régner l'ordre là-dedans, mais surtout survivre. Entre les PV à mettre, les voleurs à arrêter, les braquages à empêcher, les commerçants à contenter, son estomac à remplir et tout un tas de problèmes à régler, il y a de quoi faire. Il faudra veiller à ne pas se mettre de faction (mafia, gang mais aussi police) à dos. Tout cela se présente sous la forme d'un point'n click en 2d low-res. L'ambiance typé film policier des années 80s est complètement assumé et l'occasion de quelques clin d’œils. Comme dans Paper, please, on a de plus en plus de choses à gérer chaque jour, avec pas mal de diversité dans les événements proposés. J'ai beaucoup apprécié l'ambiance et certaines parties du script étaient clairement inattendues. Par contre, je trouve que le jeu n'est pas assez punitif, on arrive facilement à ne se mettre personne à dos et certaines action pourraient avoir plus d'impact, d'autant que cela nuit à la re-jouabilité : on peut revenir sur certains jour lors desquels on aurait raté un événement particulier mais je me vois mal recommencer une partie pour finir, par exemple, au sein, de la mafia (il y a pas mal de fins alternatives).
- Trailer:
Moi, ça m'a direct donné envie
-Dead Synchronicity : un point'n click dystopique, bien noir, pas encore testé.
- Trailer:
-A Rose in the Twilight : pour ceux qui ne connaissent pas, c'est un Puzzle-platformer 2D dans lequel on contrôle 2 personnage : Rose, qui peut "donner vie" à des objets en les imprégnant de sang mais aussi rendre des objets animé inerte en leur retirant le sang. L'autre personnage est un géant de pierre, protecteur, qui pourra se saisir des objets animés (rouges). Le titre vaut beaucoup pour son ambiance, non pas que les puzzles soient sans intérêt, mais la lenteur des personnages et les graphismes, sorte d'aquarelles grises (teintées de rouge), poussent à la contemplation (a moins que ce ne fut mon état lorsque j'y ai joué, malade, un peu groggy, qui m'a donné cette impression).
-Serial Cleaner : découvert en même temps que Beat Cop et The Flame in Flood en regardant ce que proposait un vendeur polonais (chez qui j'ai pris Dead Synchronicity), j'ai rapidement voulu le tester (comme Beat Cop en fait...).
Voilà le plot : vous incarnez un nettoyeur, le genre que l'on appelle pour se débarrasser d'un macabé et pour faire le ménage sur une scène de crime un peu trop chargée en pièce à conviction en devenir. L'action se passe dans les années 70 autour d'une intrigue proche de celle du tueur du zodiaque... Le gameplay est simple, on a droit à un jeu d'infiltration 2D finalement assez classique. Dans chaque niveaux seront présents des policiers dont le champ de vision sera représenté. Il faudra évacuer les corps et récupérer les pièces à conviction sans se faire prendre et même faire un peu de ménage en aspirant une partie du sang présent sur place. Détail important, quand on marche sur le sang, ça glisse (idem quand on l'aspire). Bon, au début j'ai eu un peu peur de l’apparente simplicité du jeu mais les mécaniques et surtout la difficulté arrive petit à petit. Par exemple, le bruit que l'on fait n'est pas pris en compte dès les premiers niveaux. Autre point, quand on se fait repérer, il suffit d'entrer dans une des caches présente sur le niveau, et même si le policier qui nous pourchassait nous voit entrer dedans, il nous laissera tranquille... Heureusement, la difficulté augmente suffisamment (avec, par exemple, l'ajout de policiers qui tireront à vue, d'autre qui resteront en alerte s'ils vous voient une fois...). Entre chaque mission, à la manière d'un Hotline Miami, on rentre chez nous, retrouver notre mère (si si) avant le prochain coup de téléphone... Dans ces phases, l'ambiance est posée via un aperçu du programme TV / radio ou de la une du journal. La comparaison avec Hotline Miami s'arrête là et hormis la vue de dessus, les 2 jeux n'ont que peu de points en commun (je précise ayant vu certaines critiques se basant sur cette comparaison). En plus d'un mode histoire, on a droit à des contrats bonus, sur le thème d'un film ~de l'époque (Orange mécanique, Alien, Star Wars...) que l'on débloque en trouvant des bobines dans le mode histoire. Au passage, notre nettoyeur ne manquera pas de faire des commentaires sur les indices ramassés et les corps récupérés (quelques critiques sur les films s'y cachent pour les contrats bonus). Enfin, tous les niveaux du mode histoire ont droit à une tripotée de mode time attack qui aurait pu se réduire à quelques options (type présence du cône de vision, possibilité de se cacher en étant dans le cône de vision d'un policier, un mode où à chaque cadavre déposé, un nouveau apparaît). Il y'a donc pas mal de re-jouabilité, même si seul le time attack classique a un réel intérêt.
- Trailer:
-UNepic : un metroidvania dans lequel un rôliste débutant se retrouve dans un donjon alors qu'il partait pisser en pleine partie de JDR. Pas encore testé.